Rough Translation from French by Microsoft. Original article follows.
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Haut-Ogooué province has become an important area in the trafficking of products of strictly protected species and especially elephants. For this, large-caliber ammunition is necessary.
Traffickers of ammunitions do not hesitate to provide ammunition of the type 458 and 375, however forbidden, to certain traffickers of ivory and poachers of elephants, for significant sums of money.
This is the case of Mr. Onkia Davy Gaël, who was arrested by the Judicial Police in flagrante delicto for the marketing of these prohibited products (5 ammunitions, type 458), on May 28, 2014, Potos to Franceville district. This may seem like a minimal amount of ammunition, but it is only a small proportion of the amount trafficked each month by this ammunitions dealer.
Following a thorough investigation, a joint mission was conducted between the Executive provincial forest, the environment and the protection of natural resources, Judicial Police du Haut-Ogooué and with the support of Conservation Justice, to stop said trafficker.
Mr. Onkia Davy Gaël, 38 years old and of Gabonese nationality, was preparing to sell ammunition to potential poachers. His arrest by the security forces and the administration of waters and forests, and the good cooperation between these two entities, surely prevented poaching operation in the vicinity.
Moreover, it is clear that this type of ammunition illegally imported from neighboring countries by plane or boat is dangerous to public safety, given that such activity enables criminal activities to flourish and grow.
At his hearing, Mr. Onkia refused to name his supplier or the purchaser of the ammunition. After his detention, he was referred to the Parquet de Franceville before the Prosecutor decided to put it under mandate of store on May 30th, 2014.
The respondent faces up to three years in prison, according to Law 15/82 of January 24, 1983, which outlines the regime of weapons and ammunition in the Gabonese Republic. Note that the sale of weapons and ammunition of the caliber of 375 and 458 is strictly prohibited.
Link to article: http://www.gabonews.com/
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Un trafiquant de munitions arrêté à Franceville
La province du Haut-Ogooué est devenue une zone importante du trafic des produits des espèces intégralement protégées et en particulier des éléphants. Pour cela, des munitions de gros calibre sont nécessaires.
Des trafiquants de munitions n’hésitent pas à fournir des munitions de type 458 et 375, pourtant interdites, à certains trafiquants d’ivoire et braconniers d’éléphants moyennant des sommes importantes. C’est le cas de Mr ONKIA Davy Gaël qui a été arrêté par la Police Judiciaire en flagrant délit de commercialisation de ces produits prohibés (5 munitions de type 458), le 28 mai 2014 au quartier Potos à Franceville. Ceci peut paraître minime, mais ce n’est qu’une faible proportion de la quantité trafiquée chaque mois par ce trafiquant de munitions.
A la suite d’une enquête approfondie, une mission conjointe a été diligentée entre la Direction Provinciale de la forêt, de l’environnement et de la protection des ressources naturelles, la Police Judiciaire du Haut-Ogooué et avec l’appui de Conservation Justice dans le but d’arrêter ledit trafiquant.
Monsieur ONKIA Davy Gaël âgé de 38 ans et de nationalité gabonaise s’apprêtait à vendre des munitions à d’éventuels braconniers. Son arrestation par les forces de l’ordre et l’administration des Eaux et Forêts, fruit d’une bonne coopération entre ces deux entités, aura surement empêché une opération de braconnage dans les environs.
Par ailleurs, il est évident que ce type de munitions importé illégalement de pays voisons ou par avion ou bateau est dangereux pour la sécurité publique si une criminalité y relative s’installe et se développe.
Lors de son audition, Monsieur ONKIA refusa de dénoncer son fournisseur ainsi que l’acheteur des munitions. Après sa garde à vue, il a été déferré au Parquet de Franceville avant que le Procureur ne décide de le placer sous mandat de dépôt le 30 Mai 2014.
Le mis en cause risque jusqu’à 3 ans de prison ferme, selon la loi 15/82 du 24 janvier 1983 fixant le régime des armes et munitions en République Gabonaise. Précisons que la vente des armes et munitions de calibre 375 et 458 est formellement interdite.